La seconde partie de l'ouvrage intitulée « Vers une anthropologie du changement climatique »
prend appui sur l'anthropologie de la nature de Philippe Descola et constitue la partie la plus
importante du manuscrit. La thèse principale défendue dans cet ouvrage témoigne de la nécessité
d'avoir recours à une anthropologie du changement climatique afin d'analyser la relation entre
le changement climatique et la migration au sein d'une société donnée.