Mêlant contributions théoriques et empiriques cet ouvrage porte sur les effets de classe dans
la dernière étape de la vie - effets trop souvent occultés en sociologie de la vieillesse. Il
contribue à dévoiler d'anciennes vulnérabilités tout en interrogeant de façon critique les
nouveaux modèles du « bien vieillir » au prisme des inégalités.