Cette étude a pour objectif de remettre en question l'hypothèse traditionnelle selon laquelle
les constructions antipassives sont identifiées exclusivement dans les langues à alignement
ergatif et non dans les langues à alignement accusatif. Inscrite dans une approche typologique
elle s'appuie sur une vision bipolaire relative aux domaines de la syntaxe et de la sémantique.